Du calme de la campagne au bourdonnement de la ville : de Yangshuo à Kaili
Après avoir traversé les villages Dong et Miao,
Où règnent calme et tranquillité
Où le temps semble s’être arrêté,
On est saisi par les bruits de la ville et son chaos
Comme dans une fourmilière,
Yangshuo ou Kaili,
Bigarrées, bourdonnantes d’une multitude anonyme,
Nous enveloppent dans un tohu-bohu général.
Ici on rit, on chante dans les bars à karaoké,
On danse dans les rues une chorégraphie bien orchestrée,
On mange à tout heure, on joue au majong, on fait des tractations,
Licites ou illicites là n’est pas la question ….
Les petits restaurants ne désemplissent pas,
Mille odeurs s’entremêlent dans un joyeux tintamarre de klaxons
C’est très enivrant, on se sent libre, on ne connaît personne
Les taxis, colorés, décorés,
Panneaux publicitaires ambulants,
Déambulent dans un va et vient incessant…
Marie Claude – (à suivre…)
Le texte est très évocateur de ce que l’on a éprouvé. La première photo est très belle. On attend la suite avec intérêt (comme pour la série des portraits).